Hormonal (post-partum, ménopause…)

Au cours de sa vie, la femme traverse de nombreux bouleversements, mais 3 phases se distinguent principalement  :

• L’adolescence
• La maternité
• La ménopause

Lors de ces phases, certaines hormones sont plus ou moins présentes, et ces variations  impacteront le bien-être physiologique, mental ou émotionnel de la femme. La sécheresse vaginale est dûe à la chute du taux d’oestrogènes dans l’organisme. Les deux phases pendant lesquelles cette modification hormonale se fait le plus ressentir sont le post-partum et la ménopause. En dehors de ces phases, une femme attentive (pratiquant la symptothermie par exemple) observera une légère baisse de libido après l’ovulation ainsi que, pour certaines, de légers inconforts dus à cette même chute hormonale (irritations, tiraillements…).

Dysbiose vaginale

Tout comme la sphère intestinale, l’environnement vaginal dispose également d’un écosystème, sensible à divers éléments extérieurs

• Toilette trop agressive, produits inadaptés
• Traitements antibiotiques
• Pratiques sexuelles inadaptées…

Cependant, contrairement à la flore intestinale constituée d’une grande variété de bactéries, la flore vaginale est composée à 90% de lactobacilles. Les lactobacilles sont les ferments lactiques responsables du maintien du pH acide du milieu vaginal, hostile aux micro-organismes pathogènes. Viennent ensuite d’autres bactéries (Candida Albicans, Gardnerella vaginalis…) qui, en cas de modification du pH, peuvent proliférer et occasionner des infections.

Hygiène de vie

• Tabac, alcool et caféine : ils inhibent l’absorption des nutriments par l’organisme.

Troubles émotionnels et stress

Le stress, la fatigue, le surmenage quotidien sont des réactions qui, a long terme, peuvent avoir des conséquences extrêment néfastes sur votre bien-être. Le système nerveux autonome, divisé entre l’orthosympathique (excitateur) et le parasympathique (inhibiteur) joue un rôle majeur sur votre disposition à accueillir favorablement l’éventualité d’un rapport intime. En cas d’anxiété, le système orthosympathique prend le contrôle afin de vous programmer à la “survie”. De ce fait, tout comme les fonctions digestives, les fonctions communicatives et reproductives sont mises en veille.