Les causes
D’un point de vue physiologique, la synthèse d’hormones sexuelles nécessite un apport suffisant en gras et en protéines. De ce fait, les grignotages prémenstruels seront la réponse de votre organisme face à différents facteurs
>>> Les carences alimentaires dûes à une mauvaise assimilation, à un déficit enzymatique ou à trouble intestinal (dysbiose, SII, hyperperméabilité intestinale…)
>>> Les restrictions alimentaires (régimes restrictifs) qui au delà d’ occasionner frustration et baisse d’estime de soi au gré de la balance, sont également source de déséquilibres micronutritionnels
>>> Le déséquilibre neuro-hormonal occasionné par une
baisse de neurotransmetteurs, et notamment de la
sérotonine et de la dopamine.
Comprendre le lien compulsions vs. SPM
Le système hormonal est composé d’un ensemble de glandes dont les actions dépendent toutes les unes des autres. À ce titre, en impactant votre métabolisme, la fringale prémenstruelle peut avoir un impact délétère sur le cycle menstruel
>>> L’hyperglycémie : la consommation excessive de sucre simple peut entraîner une hypoglycémie réactionnelle, occasionnant baisse d’énergie et besoin accru de sucre pour pallier au “coup de pompe”
>>> L’excès d’hormones féminines : en réponse à la consommations excessive de sucres simples et de (mauvais) lipides, combiné à un manque d’activité physique ou à un trouble du métabolisme, les cellules adipeuses se multiplient et produisent davantage de leptine (hormone de la satiété). Au delà d’un certain seuil, cette dernière modifie la sécrétion des hormones ovulatoires (FSH et LH) et féminines (principalement oestrogènes)
>>> La surcharge émonctorielle : la foie est saturé par les déchets colloïdaux et peine à recycler les hormones. Les carences nuisent également à l’action détoxifiante, cette dernière nécessitant l’ apport de micronutriments spécifiques.
>>> L’inflammation : la multiplication de cellules adipeuses entraîne une réponse immunitaire. L ‘inflammation favorise les troubles prémenstruels (acné, douleurs…)
la consommation excessive de sucre simple peut entraîner une hypoglycémie réactionnelle, occasionnant baisse d’énergie et besoin accru de sucre pour pallier au “coup de pompe”
Les pistes naturopathiques
>>> Une alimentation équilibrée et variée
– des protéines de qualité pour la construction des tissus (muscles, os, nerfs…)
– du bon gras (et notamment la consommation d’ acides gras essentiels
– des glucides pour la production d’énergie (privilégiez les glucides complexes)
– et riche en minéraux (magnesium, zinc, iode, fer..) et en vitamines
La façon dont vous mangez a également toute son importance : l’environnement, la mastication , l’état d’esprit…
>>> On soutient la détoxification émonctorielle (notamment intestinale et hépatique) en consommant des fibres et en prenant soin de son foie (bouillotte chaude après le dîner, infusions, herbes aromatiques digestives…)
La façon dont vous mangez a également toute son importance : l’environnement, la mastication, l’état d’esprit … “
L’hygiène de vie
>>> Apprivoiser son stress et ses émotions avec de la sophrologie, de la cohérence cardiaque, des exercices de relaxation et de respiration, stimuler le système nerveux parasympathique…
>>> Dormir suffisamment, s’accorder des temps de repos de qualité (loin des écrans), favoriser le contact avec la nature pour augmenter son taux vibratoire (jardinage, balades, earthing…), pratiquer régulièrement la détox émotionnelle
>>> Pratiquer une activité physique douce, stimulant la production de neurotransmetteurs inhibiteurs (sérotonine, GABA..)
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